Laissez vos lecteurs intervenir dans votre message électronique!
30 novembre 2015L’exemple que Flexmail avance aujourd’hui vient de Frankwatching et illustre clairement comment utiliser le contenu pour générer du chiffre d’affaires. Mais ce ne sont pas les seuls éléments remarquables de ce message électronique.
1 Naturellement, nous commençons avec l’en-tête. Tout le monde sait désormais que la première ligne est réservée pour les clients de messagerie web. Tout comme le coin en haut à droite semble être devenu le lieu de prédilection pour chercher la version lisible sur internet de la newsletter. Rien de nouveau sous le soleil, donc. Toutefois, le sous-titre sous le logo est remarquable et plutôt hors du commun. Il indique clairement la fréquence, qui est hebdomadaire. Vous briefez constamment le lecteur sur ce qu’il peut attendre. Plusieurs recherches ont déjà démontré qu’une communication dont la structure est préalablement définie rehausse la lisibilité. Il s’agit toujours de la première condition pour un bon taux de conversion, n’est-ce pas.
2 Passons au corps du message électronique. Il démarre en haut à gauche par le contenu le plus important. Avec à côté le bloc qui doit normalement conduire à la conversion. Il ne s’agit pas d’une bannière ou d’un texte vantant un produit ou une promotion mais d’un simple agenda. La conversion se trouve encore à quelques clics. Notez également l’illustration. Les rayons y apportent une certaine dynamique. Comme toutes les illustrations de ce message. Un signe ‘>’ suggérant le mouvement, un doigt qui pointe, une loupe qui suggère une recherche. Aucune image n’a été choisie au hasard.
3 Prenons un bloc au hasard un peu plus loin dans le corps du message, étant donné qu’ils sont tous structurés de la même façon. Nous aurions préféré voir l’illustration à droite, car les gens lisent de gauche à droite et ont parfois tendance à décrocher après à voir vu une image. Le message n’est pas fractionné. Mais plus loin, on voit clairement un bouton [plus d’infos]. Avec en vedette les médias sociaux. Ceux-ci étaient déjà mentionnés plus haut mais ils faisaient référence à l’ensemble de la newsletter. Et les icônes Facebook et LinkedIn font ici référence au niveau de la contribution. Voyons voir, une contribution déjà partagée 280 fois, cela vaut peut-être la peine de la lire? En remerciant les autres lecteurs pour la suggestion?
4 Voici venir la liste à points classique. Personnellement, nous l’aurions placée un peu plus tôt, car huit messages, c’est énorme. Le lecteur a déjà dû faire défiler beaucoup d’informations avant d’y arriver. A droite, on voit un bloc dont la présentation est peu commune. Souvent, on voit l’adresse e-mail ou un bouton invitant à compléter ses coordonnées mais un bloc qui détaille toutes ces informations de manière claire et ordonnée, c’est nouveau. Cela interpelle le lecteur. On se sent moins concerné par profil dissimulé derrière un bouton. Mais si vous repérez une erreur en toutes lettres dans vos informations, allez-vous hésiter à la corriger? Un autre pas vers une base de données à jour… une autre exigence pour un e-marketing qui porte ses fruits.
5 Cet élément est véritablement unique. On sollicite clairement l’avis du lecteur sur la newsletter. Tout comme vous pouvez dire ce que vous pensez du service et de la disponibilité des biens et des services dans une grande surface. Donner votre opinion est très simple – les enquêtes interminables sont très peu suivies mais un clic impulsif sur un bouton fonctionne toujours. Sinon de quoi vivraient les médias sociaux? Cela ne vous donne pas une perspective scientifique précise, bien sûr. Mais cela vaut la peine de suivre quelqu’un qui a donné un avis positif. Quant aux avis négatif, il est toujours temps de leur soumettre un questionnaire, présenté comme un élément de service. Car après, n’est-ce pas ce que veut chaque consommateur?
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